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Photographies “Guerre et beauté“ de Françoise Spiekermeier à la Batterie du Cap Nègre
15 avril 2017 @ 9 h 00 min - 4 juin 2017 @ 18 h 00 min
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Du samedi 15 avril au dimanche 04 juin 2017
Tous les jours sauf lundi
de 09:00 à 12:00 et de 14:00 à 18:00
Le dimanche, uniquement de 14h à 18h.
Exceptionnellement fermé : jeudi 25 mai 2017
Lieu : Batterie du Cap Nègre
Un voyage photographique qui bouleverse notre perception de la beauté.
Sociologue de formation, la journaliste et photographe Françoise Spiekermeier s'intéresse depuis des années à la représentation du corps et à la beauté, même en tant que reporter de guerre lorsqu'elle couvrait les conflits du Kosovo, de Tchétchénie ou d'Afghanistan.
Représentation du corps et beauté qu'elle envisage comme l'ultime acte de résistance de l'être humain face à l’âpreté du quotidien et parfois aux horreurs du monde.
Ses photographies, qui lui ont valu d’être récompensée par le Prix Bayeux des correspondants de guerre en 2001, ont fait l'objet d'expositions régulières : "Tchétchénie, l'Autre Visage" (Mois de la Photo à Paris – 2002), « Femmes tchétchènes » (Little Big Galerie Paris –
2009)… Depuis 2009, elle axe son travail photographique sur les rituels de la beauté dans le monde, travail qu'elle a décliné en une série de films documentaires pour l'émission "Les Nouveaux Explorateurs", diffusés sur Canal + entre 2011 et 2013.
C'est la première fois que l'artiste expose dans le Sud de la France.
Au travers de ces portraits, qui font tout autant penser à des images ethnographiques qu'à des photos de mode, Françoise Spiekermeier donne à voir la grâce et l'individualité de chacun de ses modèles.
Loin des clichés conversationnistes et au-delà de la splendeur des images, elle montre de quelle façon les codes esthétiques ancestraux, tout en gardant leur force, s'hybrident spontanément via l'appropriation d'objets "modernes".
Françoise Spiekermeier nous invite ainsi à un voyage photographique qui bouleverse notre perception de la beauté et témoigne, en cette ère de communication globale, de la vitalité exemplaire des cultures tribales.
Sociologue de formation, la journaliste et photographe Françoise Spiekermeier s'intéresse depuis des années à la représentation du corps et à la beauté, même en tant que reporter de guerre lorsqu'elle couvrait les conflits du Kosovo, de Tchétchénie ou d'Afghanistan.
Représentation du corps et beauté qu'elle envisage comme l'ultime acte de résistance de l'être humain face à l’âpreté du quotidien et parfois aux horreurs du monde.
Ses photographies, qui lui ont valu d’être récompensée par le Prix Bayeux des correspondants de guerre en 2001, ont fait l'objet d'expositions régulières : "Tchétchénie, l'Autre Visage" (Mois de la Photo à Paris – 2002), « Femmes tchétchènes » (Little Big Galerie Paris –
2009)… Depuis 2009, elle axe son travail photographique sur les rituels de la beauté dans le monde, travail qu'elle a décliné en une série de films documentaires pour l'émission "Les Nouveaux Explorateurs", diffusés sur Canal + entre 2011 et 2013.
C'est la première fois que l'artiste expose dans le Sud de la France.
Au travers de ces portraits, qui font tout autant penser à des images ethnographiques qu'à des photos de mode, Françoise Spiekermeier donne à voir la grâce et l'individualité de chacun de ses modèles.
Loin des clichés conversationnistes et au-delà de la splendeur des images, elle montre de quelle façon les codes esthétiques ancestraux, tout en gardant leur force, s'hybrident spontanément via l'appropriation d'objets "modernes".
Françoise Spiekermeier nous invite ainsi à un voyage photographique qui bouleverse notre perception de la beauté et témoigne, en cette ère de communication globale, de la vitalité exemplaire des cultures tribales.
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